Demain, c’est la Journée internationale de la femme (JIF) – le moment idéal pour célébrer* les nombreuses femmes d’OSM, ainsi que les contributions qu’elles apportent à la carte et à la communauté. Et quelle meilleure façon de le faire que de mettre quelques-unes de ces dames sous les projecteurs: Geoladies PH.
(*Psssst : vous voulez vous joindre à d’autres membres de la communauté pour honorer la JIF ? Faites défiler jusqu’à la fin de cet article pour obtenir une liste des événements cartographiques de célébration auxquels vous pouvez toujours vous inscrire.)
Le groupe Philippine Geoladies a été créé en 2019, lorsqu’il a tenu son premier atelier à la conférence Pista ng Mapa à Dumaguete. Ils « plaident pour la diversité communautaire, la participation collaborative et les espaces positifs, en particulier pour les femmes et les communautés sous-représentées ». Nous avons discuté avec l’équipe principale pour en savoir plus sur toutes les activités qu’ils font pour atteindre cet objectif.
Charmyne Mamador dirige Ausome Maps( quelques cartes), un projet financé par She Leads and She Inspires ( elle dirige et elle inspire) (SLSI). Le programme SLSI a été lancé par l’Open Mapping Hub – Asie-Pacifique de l’équipe humanitaire OpenStreetMap (HOT) à la fin de 2021 et a aidé 100 femmes dans plusieurs pays à devenir des leaders au sein de leurs communautés de cartographie ouverte. Pendant 6 mois, ils ont reçu une formation, un mentorat et des conseils dans la création et la direction d’un projet communautaire. À la fin du programme, dix de ces projets ont reçu du financement, y compris Ausome Maps (Quelques Cartes). L’objectif de “Quelques Cartes” est de cartographier les écoles avec des classes d’éducation spécialisée (SPED) et des cliniques de thérapie aux Philippines. Cela aidera les familles d’enfants handicapés à trouver le soutien dont elles ont besoin.
Un autre membre essentiel de “Geoladies PH” est Leigh Lunas, connu comme l’expert en drones du groupe. Elle enseigne aux élèves comment coder et piloter des drones. Actuellement, elle participe à l’initiative Bahaghari Maps( Cartes Bahaghari ) , visant à créer des cartes de sentiers utilisables pour les randonneurs philippins.
Feye Andal est le cartographe d’intervention en cas de catastrophe de Geoladies et est ambassadeur régional de YouthMappers ( Jeunes cartographes) dans la région Asie-Pacifique. (Fait amusant : en 2022, 45 % des YouthMappers (Jeunes Cartographes) étaient des femmes.) Récemment, Feye a travaillé avec le chapitre YouthMappers de l’UPRI (University of the Philippines Resilience Institute) sur la cartographie et la validation des zones touchées par le tremblement de terre en Turquie et en Syrie.
La prochaine étape est Geolady Jen Alconis. L’un de ses principaux projets a été de cartographier toutes les stations d’allaitement maternel accessibles au public aux Philippines. De cette façon, elle pourrait redonner service à son groupe de soutien à l’allaitement, mais aussi à d’autres mères en général.
Andi Tabinas, membre de “Geoladies PH”, est la fondatrice de Mental Health AWHEREness PH ( conscience de la santé mentale) , une organisation à but non lucratif qui promeut la sensibilisation à la santé mentale par l’information, l’éducation, la communication et la cartographie des établissements et services de santé mentale.
Enfin, Arnalie Vicario. Comme ses consœurs, elle est une défenseure de la diversité et de l’inclusion, ainsi que du mode de vie durable et, à la fin de 2022, elle était l’une des femmes élues au conseil d’administration de la Fondation OpenStreetMap.
Vous souhaitez en savoir plus sur “Geoladies PH” ? Consultez leur page Facebook.
Envie de rencontrer les dames dans la vraie vie ? Ils organisent régulièrement des sessions et des ateliers pour donner aux femmes les moyens de cartographier. Demain, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, vous les trouverez à l’événement “Everywhere She Maps” ( partout elle cathographie) organisé par YouthMappers à Manille (ainsi qu’en ligne).
Bien sûr, ce n’est pas le seul événement de cartographie dédié à la JIF (Journée International de la Femme) Vous trouverez ci-dessous d’autres occasions de célébrer les membres féminins de notre communauté.
8 mars-25 novembre : Mapathon pour les services aux victimes de violence sexiste, en ligne (Geochicas, Red Mexicana de Feminismo de Datos)
Vous voulez savoir comment le reste du monde honore cette journée spéciale? Pour la troisième année, Geochicas et Feminist International ont créé une carte mondiale des actions et des activités autour de la Journée internationale de la femme. Si vous souhaitez qu’un événement soit ajouté, veuillez partager les détails, y compris l’emplacement exact, avec le compte Twitter Geochicas.
Il existe une nouvelle façon de trouver et de se connecter avec les communautés OSM.
Dans le coin supérieur droit de OSM.org, vous pouvez maintenant voir un onglet « Communautés » qui renvoie à un seul emplacement centralisé qui répertorie les chapitres locaux formels, ainsi que les autres communautés OSM. Compte tenu du nombre de communautés et de la rapidité avec laquelle OSM se développe, c’est le bon moment pour ajouter un moyen important de se connecter.
Selon Joost Schouppe, membre du LCCWG , le nouvel onglet « est probablement le changement le plus visible sur osm.org depuis l’ajout de Notes ».
Une fois que vous avez navigué vers la nouvelle page « Communautés », vous verrez que les données pour les listes des chapitres locaux sont fournies dynamiquement via l’indice de communauté OSM (OCI). En fait, l’aspect le plus difficile du projet a été de trouver comment intégrer les données du BEC dans la page plutôt que de simplement ajouter une simple liste de chapitres locaux en tant que contenu statique. Comme l’a noté Andy Allan, responsable du site Web, « Ce dernier aurait été rapide et facile, mais l’utilisation de l’OCI signifie qu’il est automatiquement mis à jour lorsque de nouveaux chapitres sont ajoutés, et cela signifie également que nous réutilisons toutes les traductions pour les noms de chapitres des 46 langues différentes que nous prenons déjà en charge. »
Bien qu’il n’y ait actuellement aucun moyen de saisir dynamiquement toutes les autres communautés moins formalisées, l’ajout de la section « Autres groupes » met en évidence leur existence et indique la voie à suivre pour obtenir plus d’information.
« Ce n’est qu’un début », déclare Adam Hoyle, membre du LCCWG (Sections locales et groupe de travail communautaire), qui a également travaillé sur le projet. « Idéalement, cela peut devenir une page centralisée encore meilleure pour que les personnes et les communautés puissent se retrouver. »
Afficher une liste de sections locales ne fait qu’effleurer la surface de ce qui peut être fait, maintenant que les différents défis techniques sous-jacents ont été résolus. Par exemple, lorsque les nouveaux cartographes définissent leur emplacement d’origine sur leur profil, une liste de forums locaux, de groupes de cartographie et de canaux de communication personnalisés en fonction de leur emplacement peut être immédiatement affichée sur leur tableau de bord personnel.
La clé pour envoyer des améliorations supplémentaires à la page « Communautés » est d’avoir des bénévoles pour aider. « Toute cette information communautaire se trouve déjà dans le BEC, alors nous avons maintenant besoin de gens pour nous aider à élargir notre intégration », explique Allan. Schouppe ajoute que « cette question particulière est à l’ordre du jour du LCCWG (Sections locales et groupe de travail communautaire) depuis octobre 2020, et Adam a commencé à y travailler en janvier 2021. Cela montre que, parce que nous sommes tous bénévoles, il faut beaucoup de temps et d’efforts pour faire évoluer le site Web osm.org, mais cela peut être fait.
→ Pour contribuer au développement de OSM.org, veuillez visiter le Github principal et / ou ce numéro, qui met en évidence les nombreuses demandes d’extraction existantes et donne des idées sur la façon de contribuer.
→ Pour aider le LCCWG (Sections locales et groupe de travail communautaire) dans ses efforts pour aider les communautés locales à se développer, veuillez rejoindre l’un de leurs canaux.
J’aimerais remercier Adam Hoyle pour son travail et sa patience pendant que nous travaillions. en mettant en place les bases techniques, ce qui a pris un certain temps, mais nous prépare pour l’avenir; et aussi à l’équipe derrière OCI qui a apporté quelques changements à son côté des choses pour nous aider à obtenir les traductions Travailler pleinement plus facilement. –-Andy Allan
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“Notes” est une fonctionnalité essentielle du site Web OpenStreetMap.org. Il vous permet d’ajouter un commentaire sur la carte pour aider les autres à cartographier / éditer OpenStreetMap. D’autres utilisateurs peuvent répondre à vos notes, par exemple pour demander des détails supplémentaires si nécessaire. Les membres de la communauté OSM à Bogotá en Colombie ont tenu des notathons – des réunions pour clore les notes OSM en attente – et maintenant ils essaient d’aider les différentes communautés latino-américaines à faire de même. Ci-dessous une interview d’Andrés Gómez (OSM Colombie) par Juan Arellano, CWG tranducteur), réalisée à l’origine en espagnol et puis traduite en anglais.
Juan Arellano – Bonjour Andrés, comment et quand avez-vous commencé à vous intéresser à la résolution de notes OSM ?
Andrés Gómez – Je me suis intéressée lorsque nous étions confinés à cause de la pandémie, avec beaucoup de temps libre et incapable de quitter la maison. C’était fin 2020, je parcourais la page de statistiques de Pascal Neis, et sur la page d’aperçu des notes OSM , j’ai vu que la Colombie était vraiment mauvaise en termes de notes fermées par rapport aux notes ouvertes. Ce n’était pas si surprenant car la communauté colombienne n’était pas très active et nous avions négligé cet aspect.
J’ai donc lu tout ce que je pouvais trouver sur les notes, les commentaires et comment les résoudre, mais je n’ai pas trouvé beaucoup d’informations. C’était un peu comme quand j’ai commencé à cartographier dans OSM… J’avais du mal à commencer. Il s’est avéré que les notes sont une couche différente, avec leur propre processus et flux, et je ne comprenais pas vraiment leur but.
Cependant, après en avoir résolu quelques-unes, j’ai commencé à comprendre la mécanique. Mais résoudre 5 000 notes était une tâche énorme! J’ai essayé de mobiliser un groupe que j’avais créé il y a des années, MaptimeBogota. Nous avions déjà organisé des soirées de cartographie, alors j’ai proposé des événements virtuels, car nous devions tous être à la maison, et j’ai attendu de voir ce qui allait se passer. J’ai dû insister. A partir de mai 2021, tous les samedis à 11h, j’ai organisé un événement virtuel. Au début, personne n’y a assisté, mais j’ai continué à insister.
Après plusieurs semaines, Doris Ruiz est arrivée, qui connaissait les SIG, mais pas OSM, et nous nous sommes soutenus mutuellement. Plus tard est venu Rafael Isturiz, qui connaît les communautés open source et l’administration informatique, et j’ai réussi à le convaincre du potentiel des notes (maintenant, il est le plus grand évangéliste de notes que je connaisse, et de grandes choses ont été accomplies grâce à lui). Grigoriy Geveyler, qui nous a soutenus dans la diffusion des événements a ensuite rejoint le groupe, et évidemment Juan Melo, qui est devenu l’un des grands contributeurs mondiaux. Avec un tel groupe, la dynamique de résolution des notes s’est améliorée, et nous avons tous beaucoup appris non seulement sur les notes, mais aussi sur OSM et les SIG. En janvier de cette année, nous avons pu annoncer la fermeture de tous les ancienes notes en Colombie.
JA – Utilisez-vous des outils spéciaux pour la résolution de notes ?
AG – Au début, nous n’utilisions que l’outil Pascal Neis, car nous ne voulions résoudre les notes qu’en Colombie. Mais une fois cet objectif atteint, Rafael a proposé de reproduire le modèle dans d’autres pays. Nous avons donc commencé à partager le sujet sur la chaîne OSM Latam sur Telegram et avons finalement organisé une réunion, soutenue par Céline d’OSM Mexique, pour intégrer les pays de la région. Nous savions déjà comment utiliser des outils comme BigBlueButton, comment faire des présentations, comment diffuser via Meetup, donc toute la logistique était facile et l’événement a reçu une bonne réponse de la communauté. Rafa a proposé l’idée de faire un « Notathon », un événement axé sur la résolution de notes pour n’importe quel pays, où plusieurs contributeurs pourraient résoudre des notes dans le même domaine ensemble.
Pour développer le flux de travail des notathons, nous avons étudié d’autres outils. NotesReview est bon pour quelques notes dans un domaine donné. La visionneuse de notes OSM d’Anton a connu une évolution impressionnante, et nous lui avons demandé certaines fonctionnalités via GitHub, et il nous a soutenus dans leur développement. Plus récemment, nous avons utilisé le projet DAMN pour diviser les domaines d’intérêt, afin de pouvoir travailler en collaboration pour résoudre des notes dans le même domaine sans chevauchement.
JOSM est notre éditeur préféré pour résoudre les notes, et nous avons tous partagé nos expériences de différents plugins qui peuvent aider dans le processus de résolution de notes. Par exemple, les notes d’Erick de Oliveira pour la création de pistes non cartographiées sont assez exigeantes, alors Rafa a proposé Fast Draw, et cela nous a beaucoup aidés à résoudre environ 700 notes. Le téléchargement continu nous a également permis de télécharger automatiquement les données où que se trouvent les notes, accélérant ainsi la résolution. Nous avons même trouvé quelques bugs dans JOSM, et créé leurs tickets respectifs dans Trac. Nous avons également demandé à d’autres applications d’intégrer la fonctionnalité de notes, telles que FediPhoto et EveryDoor (ce qui était déjà le cas!).
JA – Alors, la communauté OSM latino-américaine a-t-elle répondu à vos appels à des notathons ?
AG – Oui, et nous avons regroupé tous les notathons des différents pays en Amérique latine dans un canal Telegram. C’est un premier pas, car il y a des gens qui ont plus d’expérience dans les notathons que nous; par exemple, Felipe Eugenio du Chili, qui en a résolu plus de 8 000! Avoir un canal dédié aux notes nous a permis de travailler avec concentration sur un sujet spécifique. Certaines personnes qui ne participent pas à des canaux OSM très actifs, parce qu’ils traitent de tant de sujets différents, préfèrent le canal Latam Notes parce qu’il est ponctuel et décisif.
En termes de participation aux notathons, la communauté est un peu timide, et il y a peu de contributeurs débutants qui arrivent, mais dans un événement de 1 heure, comme le notathon à Cuba, environ 100 notes sont résolues. C’est un nombre très élevé, car nous nous soutenions tous les uns les autres, tout en demandant à Ghostsama, qui était à Cuba, de clarifier les choses pour nous d’un point de vue local.
Nous sentons que nous avons découvert de nouvelles possibilités à travers des notathons et nous voulons que plus de gens nous soutiennent et nous rejoignent. Nous pensons vraiment qu’à travers les notathons, vous apprenez beaucoup sur OSM – En fait, lorsque vous allez résoudre une note, vous ne savez pas nécessairement de quoi il s’agira ou ce que l’utilisateur veut dire, vous devez donc chercher, lire, apprendre, et c’est tout, vous avez fait évoluer vos connaissances et vos compétences grâce à OSM!
JA – Quelle est la prochaine étape pour ce projet, de nouvelles idées à mettre en œuvre ?
AG – Pour moi, les notes sont la « voix » des utilisateurs de nos cartes, et nous devons les « écouter ». Nous savons que la résolution de notes peut se faire en collaboration entre les personnes sur le terrain et les personnes contribuant à distance, donc une idée est d’explorer l’utilisation potentielle des notes dans les interventions en cas de catastrophe, où les gens sur le terrain peuvent signaler ce qu’ils voient et, en temps réel, les cartographes distants peuvent apporter des modifications à la carte. Nous avons pensé à faire une équipe de cartographie hybride, où nous mettrions cette idée en pratique.
OSM est également utilisé par des plateformes comme Facebook ou Instagram, et lorsque notre carte est affichée sur ces réseaux sociaux, il y a la possibilité de faire un rapport. Nous aimerions que ces plateformes intègrent ces rapports sous forme de notes, ce qui permettrait de garder OSM plus à jour. Ces entreprises pourraient même déployer du personnel pour résoudre les notes soumises par leurs utilisateurs et, de cette façon, nous gagnons tous.
Pour conclure, les notes sont présentes depuis plusieurs années au sein d’OpenStreetMap et il y a déjà plusieurs communautés qui croient en l’importance des notes de clôture. Je crois que nous découvrons tout juste le potentiel des notes et que l’appétit pour elles grandit – des gens d’autres communautés nous contactent car ils nous voient comme une longueur d’avance dans ce domaine. Nous voulons continuer à innover avec les notes OSM, et que la communauté autour d’eux grandisse !
JA – Enfin, parlez-nous un peu de vous et de votre relation avec la cartographie et la #openstreetmap.
AG – Je suis ingénieur système. Je travaille en tant que DBA pour Db2 depuis plus de 15 ans. Les données et les bases de données m’ont toujours intéressé; c’est pourquoi OSM m’intéresse. Ma relation avec OSM remonte à 2009, lorsque j’ai commencé à dessiner des nœuds et des lignes près de la maison de mes parents. Je ne savais pas vraiment comment contribuer et je n’étais pas au courant des mécanismes de gouvernance ou des communautés qui m’entouraient.
À Bogota, ils venaient de mettre en place un nouveau système de transport : le SITP. Ce système est beaucoup plus structuré que l’ancien système chaotique, mais avec un défaut majeur à ce jour: il n’affiche pas d’informations à ses utilisateurs! Il n’y a pas de cartes dans les rues et monter à bord d’un bus peut être un cauchemar. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à faire beaucoup de recherches sur OpenStreetMap : rejoindre la communauté, lire le wiki, découvrir des applications, des sites web, des services, etc. et cela m’a aidé à mieux comprendre la dynamique de l’écosystème.
Cependant, mon intérêt pour le renforcement de la communauté OSM a augmenté, et je me considère comme l’un des leaders de la communauté colombienne, et je pousse également la communauté Latam vers une plus grande intégration.
Qu’est-ce que la Fondation OpenStreetMap ?
La Fondation OpenStreetMap est une organisation à but non lucratif, formée pour soutenir le projet OpenStreetMap. Il est dédié à encourager la croissance, le développement et la distribution de données géospatiales gratuites pour que tout le monde puisse les utiliser et les partager. La Fondation OpenStreetMap possède et entretient l’infrastructure du projet OpenStreetMap, est soutenue financièrement par les cotisations des membres et fait des dons et organise l’état annuel et international de l’état de la carte conférence. L’OSMF soutient le projet OpenStreetMap à travers le travail de notre bénévole Groupes de travail. S’il vous plaît envisager de devenir un membre de la Fondation – vous pouvez devenir membre gratuitement, si vous êtes un contributeur OpenStreetMap actif.